vendredi 9 mars 2012

Come on ?

Note : Un photoshoot de Jezekiel, qui a presque terminé de trouver son look définitif. J'espère recevoir rapidement son manteau pour le terminer. En tout cas, il se prête toujours autant aux photographies, pour mon plus grand bonheur <3










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*en cours d'édition*

samedi 18 février 2012

Sortie au Parc.

Note. : Hier après-midi, nous nous sommes organisés une petite sortie tranquille entre Kei, Nine et Lacrymoire ; d'abord au Tasse-Livre, un petit café/librairie/je-ne-saurais-trop-dire-quoi qui fut un régale pour les yeux et les papilles *.* C'est à refaire je vous le dis ! Surtout quand le Chocolat Viennois à un bon goût de noisette et que y'a des smarties dans la chantilly \o/ Nine, c'était une merveilleuse idée ^^ ! Nous sommes ensuite allé au Parc de la Tête d'or (où Jezekiel s'est ma foi, retrouvé avec une main en moins T^T Heureusement que le petit monde à remarqué la perte de ses petits doigts et m'a permit de remettre la 'main dessus' si je puis dire. Et une fois de retour à la maison -> Réparé, comme si de rien était !) où nous avons enfin pu voir les BJD :3 Entre le grand Echoe et mon nouveau bouchon de Lou, la divine Séléna et mon manchot de Jez, et enfin le fier bel homme qui faisait sa première sortie en plein air (comme quasiment toutes les doll en fait xD) Bref, je me tais un peu et vous laisse découvrir... mwahahahaha *rire sadique*

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Echoe ouvre le bal... Avec ses nouveaux yeux et son nouveau make-up. Raouh !

Sublimissime Séléna... Sincèrement, c'est l'une des dolls que je préfère de Lacrymoire. 
Elle est tout bonnement divine. La prendre en photo était un vrai plaisir.
 



Mon grand / petit Jezekiel... qui s'essaye à une autre wig :)
 

Alors là... c'est une spéciale pour Kei et Nine, où la prestance d'Echoe en a pris un sacré coup dans le popotin x'D ! Mais je pense que le corps de Kei ne va pas tarder à être retrouvé, vu le regard qu'il lui lance x) [Nine, je l'ai en très grand si tu la veux ,)]


Le très grand Echoe... et son nouvel ami / jouet, Lou.
 

 Le magnifique bellâtre de Lacrymoire, qui faisait sa première sortie en ville !
Je suis déçue, je n'ai pas réussi à prendre de meilleures photos de lui T^T


Encore Séléna... <3


Jez a quand même eut droit à sa photo souvenir (: 
 

Aller hop, de petites photos tous ensemble ^__^
 

Mon Lou, et ses nouveaux yeux (Merci Lacrymoire !) 
Affectueusement renommé "Le Martyr" x)


Mon Jezekiel, fier d'être debout au milieu d'aussi belles créatures.
 

 Echoe, toujours aussi...pensivement pensif.
Peut-être au bol de lait chaud qui l'attend ?


Créatures... Marionnettes. Grandes poupées. Maxi Barbies... Ils ont été gâtés par les surnoms des néophytes. Mais, tant que cela ne partait pas d'un mauvais sentiment, ils ne s'en sont pas vexé.


... Je serais vous, je fuirais en courant. Je dis ça, je dis rien *smile*
 

Héhé....


Mon bibou, qui s'en est sorti indemne, si si. Il a juste l'air fatalement effrayé xD
 

 Et je ne pouvais pas finir cet article sans une dernière photo de Séléna.


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 Crédits :

A*** est un SOOM MD Ender @ Lacrymoire.
 Echoe est un DOll CHATEAU Cyril @ Nineinjections.
Jezekiel est un NEO ANGEL REGION Kai @ Davy.
Lou est un DOLLZONE Raphael @ Davy.
Selena est une IPLEHOUSE Asa @ Lacrymoire.
Photos prises et modifié par Davy.
 
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 A bientôt, je l'espère, car ce fut une journée fort amusante et pleines de rebondissements ^__^


jeudi 16 février 2012

The Secret World.

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Vous m'attendiez ? Quel honneur.






 Mais n'en avez-vous jamais assez ?

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[JEZEKIEL est un NEO ANGEL REGION KAI sur corps GEM]

Close.



Ancienne photo, prise par Maneki.

mercredi 15 février 2012

Lou.

« L'hiver de ta vie est ton second printemps. »

 

 

 

samedi 4 février 2012

Hey You.

... Il n'est pas complet. Il n'a pas sa wig. Mais il a des yeux de fou. Et je l'aime déjà...

Jezekiel
(nom provisoire)



 Modèle : NEO ANGEL REGION Kai sur corps Gem de SOOM.
Normal skin jauni.

samedi 28 janvier 2012

Snow Patrol - Run.

Le bruissement des draps résonne dans ma tête. Un souffle. Mon torse se soulève, j’essaye de le contrôler pour amenuiser mon essoufflement. Mes yeux se rouvrent, je le cherche. Mais lui n’est déjà plus là. 


Il s’assoit.

Mes mains s’accrochent aux chaines sombres reliant mes poignets. Il a eu besoin, aujourd’hui, de les mettre. D’avoir la sensation de me retenir prisonnier, alors que je ne pourrais m’enfuir. Jamais. Il aime garder le pouvoir, la supériorité, et le sentiment que je lui appartiens. Je suis sa chose. Son objet. Son désir. 


Il se rhabille.

Je n’ose tourner la tête vers lui. Mon esprit laisse s’effilocher les dernières bribes de notre ébat, les derniers soupirs qu’il est venu cueillir sur le bord de mes lèvres alors qu’il me faisait venir pour la troisième fois. Je n’ai jamais aimé les chiffres impairs, mais lui se nargue de les dompter. Tout comme il dompte mon dos cambré, mes cuisses arquées et ma gorge déployée. Je n’ai plus de voix. Pas de quoi l’appeler. De toute manière, il attendrait que je le supplie pour ensuite mieux m’abandonner.


J’imagine son corps ; la prestance de ses muscles et la courbe de sa nuque. La puissance de ses avant-bras, suffisamment forts pour soutenir le poids de son être et m’étrangler sans effort. Je souris légèrement en repensant au téton droit que j’ai mordu, avant qu’il ne se venge sur les miens à m’en faire outrageusement couiner. Avant qu’il ne me fasse languir, trembler mes cuisses et s’évanouir ma raison.


 Il se lève.

Je sens le matelas remonter. Il s’en va ? Inquiet à la pensée de l’abandon, je tourne la tête vers lui. Quelque mèches d’argent me dérangent, me barrent la vue. Il n’a même pas prit le temps de me dévêtir complètement. Comme si la folie le prenait trop rapidement pour qu’il en garde la maitrise. Cela doit le frustrer, atrocement. Lui qui aime tout contrôler. Je vois son dos, où gisent les faibles griffures que j’ai eu le droit de lui octroyer. Il m’en demande parfois, comme pour faire redescendre son esprit des lymbes où il s’est perdu.


Il soupire.

Sa chevelure à reprit la délicieuse teinte chocolat, celle qu’il garde lorsque son âme est au calme. Lorsqu’il reprend possession de ses moyens et paraît alors plus humain. Même, plus humain que moi, je dirais. Il a l’air pensif, se mordant la lèvre. Je sais qu’il ne regrette pas ce qu’il a fait, ou si peu. Dans les deux cas, je n’en serais pas mis au courant. Il faudra attendre, comme toujours.


Il hésite.

Ses longs doigts effilés montent, vont frôler, caresser les deux croix qu’il porte autour du cou. Je soupçonne les veines de sa peau claire. Pâle et tendre. Délicieuse. La première croix, c’est pour lui. La seconde, plus haute, c’est pour l’autre. Celui qui l’habite et qui se libère par moment. De temps à autre, ils échangent, s’intervertissent et je dois alors en subir les conséquences. Chacun à conscience de l’autre. A conscience de ce que leur corps fait. Ce qu’il me fait, alors que j’hurle son nom de douleur et de plaisir. Il sait y faire, tellement…


Il sort.

J’en profite pour le débarrasser de ces chaines ; retrouver mes vêtements et les enfiler, fébrile. Je ne sens plus l’extrémité de mes doigts, les portant à mes lèvres comme pour en tester la perte. Mon corps me brûle. Mon dos est douloureux. Mes jambes sont épuisées. Je, suis épuisé. Comme s’il avait aspiré mon énergie, ma motivation, mon désir. Je n’ai qu’une envie, me rallonger pour sombrer dans un sommeil sans rêves ni cauchemars. Je baisse un instant les yeux.


Il s’éloigne.

Les chaines sont lourdes. Elles pèsent entre mes doigts, glissant jusqu’au sol dans un cliquetis mate. J’espère qu’il ne les remettra pas de sitôt, il n’a pas l’habitude de les utiliser, et elles sont bien trop grosses. Je préfère encore quand il prend un tissu ou des menottes. Autre chose, que ces chaines.


Il s’est enfermé.

Je soupire. Mais je souris. Quelque chose en moi souris. Cette âme noire qu’il a fait naître, au creux de mes os et de mes entrailles. Cette idée sordide de la mortalité et du cauchemar, des méandres du néant, de la peur, du désespoir. Cette personnalité qu’il m’a octroyée quand il m’a donné vie. Quand il m’a permis de renaître, de perdre cette enveloppe charnelle qui était la mienne, pour ne plus supporter que le poids de mes propres responsabilités. Quand pour la première fois il a échangé sa chair avec la mienne. Quand il m’a fait devenir quelqu’un.


 Je lève les yeux. 
Vers vous. Vous qui ne comprendrez jamais qui est mon maître. 
Qui est Dimitri Dù Enaid.